Courtier en assurance : ce qui garantit la qualité de nos conseils

Nos courtiers offrent un conseil pour vos assurances entièrement gratuit. Comment est-ce possible ? Qu’est-ce qui garantit l’expertise de nos collaborateurs et la qualité d’un service qui n’a pas toujours eu bonne presse ? Nous vous répondons sans tabou.

 

Vous avez certainement déjà croisé le chemin, ou peut-être le fer avec un courtier en assurances. Le métier suscite en effet toujours un peu de méfiance, en raison notamment des commissions perçues pour rétribution de ce service par ailleurs dispensé gratuitement. Quels sont les critères qui garantissent la qualité de conseil et l’expertise d’un courtier en assurance ?

 

Qu’est-ce qu’un courtier en assurance?

Oui, de quoi parle-t-on, au fait ? Un courtier en assurance, appelé aussi « intermédiaire en assurance » ou plus communément « broker », dispense des conseils et propose des offres pour différents produits et contrats d’assurances. Selon la définition officielle, le courtier n’est pas lié juridiquement ou économiquement à une entreprise d’assurance et conclut des contrats avec des clients pour le compte de divers assureurs.

Notre rôle, c’est de vous proposer les meilleures offres en assurances, prévoyance et immobilier du marché.

 

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Comment le courtage en assurances est-il réglementé en Suisse ?

Pour avoir le droit d’exercer leur activité, les courtiers en assurances ont en principe l’obligation de s’enregistrer auprès la FINMA, le gendarme financier helvétique (Autorité de surveillance des marchés financiers). Celle-ci tient un registre dont les données sont publiques et peuvent être mises à disposition dans une banque de données en ligne. Les courtiers et sociétés de courtage sont regroupés en une association, la SIBA (Swiss insurance brokers association), qui compte 95 membres, totalisant 2500 collaborateurs.

Pour en savoir plus : Les nouvelles règles du métier de courtier en assurance

 

Des contrôles sont-ils effectués par la FINMA ?

La FINMA vérifie régulièrement, au moyen de contrôles par échantillonnage, si les intermédiaires d’assurance respectent les exigences du droit de la surveillance. En cas d’irrégularités, le gendarme financier prend les mesures nécessaires.

 

Qu’est-ce qui garantit le professionnalisme de nos courtiers en assurances ?

Pour obtenir une inscription au registre de la FINMA, les courtiers doivent notamment justifier de qualifications professionnelles suffisantes et passer un examen dont le contenu est fixé par le gendarme financier.

En plus de cette formation initiale, les quelque 30 courtiers que nous regroupons à l’Agence Mendes bénéficient d’une formation continue spécifique et exigeante couvrant tous les domaines de l’assurance, ainsi que la prévoyance et les hypothèques. Ils dispensent leurs conseils dans plusieurs cantons romands : 

• Genève : Route de St Julien, 277 – 1258 Perly
• Vaud : Route de la Combe, 4 – 1816 Chailly-Montreux
• Valais : Route de Saillon, 62 – 1926 Fully
• Fribourg : Route de la Poudrière – 1700 Fribourg
• Neuchâtel : Rue de la Treille, 4 – 2000 Neuchâtel

 

Par ailleurs, le courtier ou la société de courtage pour laquelle il travaille doit aussi avoir conclu une assurance responsabilité civile professionnelle pour une somme minimale de deux millions de francs auprès d’un assureur agréé par la FINMA ou justifier de garanties financières équivalentes pour couvrir d’éventuelles pertes résultant d’une violation du devoir de diligence professionnelle.

 

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Pourquoi nos courtiers offrent un conseil indépendant?

Ainsi, contrairement à un agent en assurance, qui travaille pour le compte d’un unique assureur et ne vend que les produits de son employeur, le courtier n’est lié à aucune entreprise d’assurance. C’est ce qui nous permet de vous offrir un conseil indépendant, pour pouvoir cibler vos besoins en toute objectivité.

 

Pourquoi nos conseils en assurance sont-ils gratuits ?

Le modèle d’affaires du courtage fonctionne selon un système de rémunération par commissions : le courtier touche une indemnisation de la part des compagnies d’assurances pour chaque nouveau contrat signé. Leur montant varie selon l’assureur et le type de prestation fournie par le courtier.

En Suisse, les commissions les plus courantes sont les commissions d’acquisition/de clôture versées à la signature d’un contrat. Elles représentent soit un pourcentage de la prime annuelle, soit un montant fixe. À ce bonus peut s’en ajouter un autre dans le cas où plusieurs contrats seraient conclus auprès du même assureur. Il existe aussi des commissions de portefeuille versées en principe sur une base annuelle dans le cadre d’un contrat de gestion pour un client. Elles peuvent être calculées en fonction du volume de primes sous gestion.

Source : finma.ch